La cueillette contre le gaspillage alimentaire.
Tous les jours nous jetons une quantité énorme de fruits,
qui pourraient servir pour les personnes les plus pauvres.
Le ‘glanage’ ou ‘cueillette’ est une pratique qui permet de
‘glaner’ des pommes de terre, des céréales, les raisins, les pommes, les fruits
en général, c’est-à-dire de cueillir des fruits une fois finie la récolte.
La pratique du glanage sert pour augmenter le phénomène
du développement durable et est très diffusée en France, au Québec et aussi en Belgique.
Le glanage est
autorisé pour les personnes âgées, les infirmes, les femmes et les enfants de
moins de 12 ans quand les champs sont non clos, dans leur commune et après la
récolte du fermier.
Mais il y a aussi le glanage illicite, parce qu’il y a de gens qui dérobent des fruits
quand ils ne sont pas encore détachés du sol.
En effet, le mot ‘Glanage’ ne veut pas dire
‘arracher, saccager, piller ou même
voler !’
Légalement, pour avoir le droit de glaner, on peut traduire l’article 520 du Code civil
français:
« …les récoltes sur pied sont des biens immobiliers, alors que les fruits tombés, et les restes de la récolte sont des biens meubles «
On peut glaner ces produits, si une réglementation locale ne l’interdit pas spécifiquement.
« …les récoltes sur pied sont des biens immobiliers, alors que les fruits tombés, et les restes de la récolte sont des biens meubles «
On peut glaner ces produits, si une réglementation locale ne l’interdit pas spécifiquement.
Nous
avons fait une interview à la grand-mère d' Irene.
Elle s'appelle Anna et
connaît
bien la cueillette, parce qu'elle a 86 ans et qu'elle en faisait quand
elle était jeune, avec sa famille.
Ils allaient glaner le
blé, le mais, les haticots et aussi les pois.
Quand le propriétaire du terrain avait
terminé de couper le blé ils pouvaient cueillir les épis de mais
et ils les mettaient au soleil.
Plus tarde ils battaient les épis de
mais avec des bâtons pour
faire sortir le blé.
Ils utilisaient ce blé pour faire de la farine et du jusqu'à la
prochaine récolte, car la famille était nombreuse.
Irene Ferroni, Rossella Sgarbi, Beatrice Prandini.
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