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venerdì 24 gennaio 2014

Info Post

Aujourd'hui à cause de la crise économique et du marché du travail, les jeunes français et italiens decident de tenter leur chance à l'étranger.

Ils partent parce qu’ils ont besoin de voir autre chose et de voir comment ça pourrait être ailleurs. Ils ont envie d’un poste ouvert, avec des opportunités, pour pouvoir exprimer leur créativité et leur ambition, pour s’enrichir culturellement et professionnellement pour ensuite revenir en France/Italie avec de nouvelles compétences.
Ils disent aussi, que dans le pays d'origine on n'était pas poussé vers l'avant, que les gens ne font que le travail et pas plus ; on n’essaie pas de se dépasser. Grace à la mondialisation et au développement d'Internet, aujourd'hui c'est plus facile de trouver un travail à l'étranger, que dans le pays d'origine.
Les pays choisis sont l'Australie, le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Autriche, la Norvège ,Le Royaume Uni et la Belgique qui offrent beaucoup d'opportunités.
Il est faux de dire que les diplômes ne valent plus rien. C'est une idée aujourd'hui largement partagée : les jeunes ne trouvent plus les conditions pour réaliser leurs projets professionnels, ou s'accomplir personnellement.

De nombreuses enquêtes ont montré que les jeunes sont extrêmement pessimistes lorsqu'on les interroge sur l'avenir du pays, tout en se disant optimistes concernant leur propre avenir. Confiants dans leurs capacités mais défiants à l'égard de leur société, ces jeunes pourraient être tentés de trouver hors des frontières l'occasion de réussir.

Si l'on met à part cette jeunesse super diplômée déjà intégrée à la mondialisation, il reste, en simplifiant, deux types de jeunesses : une jeunesse moyennement diplômée et une jeunesse qui l'est peu ou pas du tout.

En Europe, la France se distingue par une double particularité : elle pénalise particulièrement les jeunes qui échouent à l'école, tout en réservant un traitement plutôt plus favorable que la moyenne à ceux qui poursuivent des études supérieures.

Mais il faudrait surtout que la France et l'Italie réforment en profondeur leur système éducatif, pour réduire l'échec scolaire, et leur marché du travail, pour casser le clivage entre CDI et CDD, particulièrement pénalisant pour les jeunes sans diplôme.

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