Aujourd'hui à cause de la crise économique et du marché du travail, les jeunes français et italiens decident de tenter leur chance à l'étranger.
Ils
partent parce qu’ils ont besoin de voir autre chose et de voir
comment ça pourrait être ailleurs. Ils ont envie d’un poste
ouvert, avec des opportunités, pour pouvoir exprimer leur créativité
et leur ambition, pour s’enrichir culturellement et
professionnellement pour ensuite revenir en France/Italie avec de
nouvelles compétences.
Ils
disent aussi, que dans le pays d'origine on n'était pas poussé vers
l'avant, que les gens ne font que le travail et pas plus ; on
n’essaie pas de se dépasser. Grace à la mondialisation et au
développement d'Internet, aujourd'hui c'est plus facile de trouver
un travail à l'étranger, que dans le pays d'origine.
Les
pays choisis sont l'Australie, le Danemark, l'Allemagne, les
Pays-Bas, l'Autriche, la Norvège ,Le Royaume Uni et la Belgique qui
offrent beaucoup d'opportunités.
Il
est faux de dire que les diplômes ne valent plus rien. C'est
une idée aujourd'hui largement partagée : les jeunes ne trouvent
plus les conditions pour réaliser leurs projets professionnels, ou
s'accomplir personnellement.
De nombreuses enquêtes ont montré que les jeunes sont extrêmement pessimistes lorsqu'on les interroge sur l'avenir du pays, tout en se disant optimistes concernant leur propre avenir. Confiants dans leurs capacités mais défiants à l'égard de leur société, ces jeunes pourraient être tentés de trouver hors des frontières l'occasion de réussir.
Si l'on met à part cette jeunesse super diplômée déjà intégrée à la mondialisation, il reste, en simplifiant, deux types de jeunesses : une jeunesse moyennement diplômée et une jeunesse qui l'est peu ou pas du tout.
En Europe, la France se distingue par une double particularité : elle pénalise particulièrement les jeunes qui échouent à l'école, tout en réservant un traitement plutôt plus favorable que la moyenne à ceux qui poursuivent des études supérieures.
Mais il faudrait surtout que la France et l'Italie réforment en profondeur leur système éducatif, pour réduire l'échec scolaire, et leur marché du travail, pour casser le clivage entre CDI et CDD, particulièrement pénalisant pour les jeunes sans diplôme.
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